• L'association Vivre les Initiatives Ensemble

     

     

     

     

    organise le mardi 20 novembre 2012 à Lachapelle sous Aubenas :

     

    Une animation-formation gratuite sur la technique de réalisation d'une butte de culture « Butte Morez ou Butte Sandwich »


     

    RDV sur le Jardin VIE à partir de 10h. Possibilité de pique-niquer sur place en ramenant vos paniers. Plus de renseignements au 06 58 08 41 12 (Itinéraire : Lachapelle sous Aubenas, Route de Chassiers-Largentière, Jardin VIE en face du Foyer des Oliviers de Béthanie).



    Nicolas Husson
    Coordinateur de l'association V.I.E
    06 58 08 41 12 / 06 24 85 31 38 / 04 75 38 07 73
    asso.v.i.e@hotmail.fr
    www.asso-vie.org
    http://jardinsenpartage.eklablog.fr


    1 commentaire

  • **Suite à la lecture d'un texte d'Henri Cueco : "Il en avait gros sur la patate ", les écrivains du jour se mirent à la recherche de mots puis d'expressions populaires en référence à la pomme de terre...  Ecritures d'Octobre...

     

    La pomme de terre dans tous ses états

     

                                                           Patate rate

     

     Vas-donc, eh, patate!

    lança la belle de Fontenay attifée d'un sac à patates, s'adressant à cette grosse patate affublée d'un nez en patate .

     

    -Tu veux que j't'en mettes une de patate?

    qu'il lui dit, lui qui en avait gros sur la patate,

    que j'te réduise en purée ?

     

    Ah, ils faisaient pas partie du gratin, ces deux épatants ! Le moindre pataquès leur donnait la frite - la frite pour se friter !

     

    -J'vois bien qu'tu veux me passer la patate chaude, toi qu'es farci d'bonnes intentions,

    grommela la Belle,

    alors qu'on est déjà dans la purée...

     

    -Et patati,et patata ! Tu m'épateras toujours, ma petite mousseline, avec tes patates !

    que lui répond le pataphysicien se faisant soudain patate douce .

    J.L

     

     ...............................

     

    Purée, quelle cata !

    Pourtant j’avais la frite ce matin et puis la Belle de Fontenay est arrivée ; bizarrement habillée, comme un sac à patates, ce qui n’est pas son genre ! Elle s’était mis la rate au court-bouillon complet ! Les yeux gonflés, le nez comme une patate rose, elle reniflait sans arrêt tout en se mouchant dans un pauvre petit mouchoir de mousseline qui demandait grâce.

    Dramatique…

    Elle m’a raconté sa journée de la veille en face. Faut dire que par chez nous la guerre est déclarée depuis toujours, entre la patate à l’huile et la patate au beurre, une frontière invisible mais tenace divise les familles.

    Là-bas, il y a le gratin… et justement Bintje, le beau Bintje qui draguait la Belle de Fontenay depuis un moment était venu la chercher avec une caisse d’enfer.

    Les mecs du coin l’ont mal pris, surtout le frère de la Belle tu penses ! Ils l’ont injurié « vas donc eh patate !» lui ont fait des frites sur son petit postérieur quand il tournait les talons. Ils lui ont pris la voiture et sont partis faire un tour avec… Ils ont mis la patate un max et, patatras, la caisse a débaroulé tout le coteau ! Dans la purée complet ! Son frère jurait que c’était pas lui qui conduisait, ils se sont refilés la patate chaude à tour de rôle. Bintje menaçait de réduire le petit Roberval en purée et promettait de ne pas lui lâcher la patate comme ça. Quel patakès !

    Finalement, Roberval a promis qu’il laisserait sa sœur aller où elle voulait mais les parents vont devoir payer les dégâts. Heureusement, ce sont eux qui tiennent la plus grosse pataterie du coin !!

    Michèle.

     

     ......................................

     

     

    La Belle de Fontenay, bien que ressemblant à une grosse patate, décide de se faire rôtir au soleil. Telle une Duchesse mais vêtue comme un sac à patates, elle rissole rapidement, comme dans un four!
    Elle se dit qu'avec une telle robe des champs, elle aurait vite des vapeurs et son bronzage serait râpé.
    Elle ne voulait pas se farcir les quolibets de l'entourage, elle qui avait tant la frite!
    D'ailleurs, elle réduirait en purée quiconque ferait des remarques gratinées du genre "patate pourrie", elle, elle en ferait du hachis!
    Elle retira sa mousseline trop chaude, se muni de son fusil à patates! elle n'allait pas de sitôt lâcher la patate!
    Mais pas de pataquès, son nez, gros comme une patate, pris enfin une belle teinte Crumble. Satisfaite, elle se lève (à l'aide d'un cric...) et patatras, elle rate la marche et la voilà à terre.
    C'est terminé, pas de salade, j'arrête de vouloir ressembler à une patate chaude!!!!!

    Claire

     ............................


     

    Oh,quel pataquès !

     

    Vêtu comme un sac à patates, il débarqua en plein champ de Rose-vals où l'attendait sa petite patate adorée. Mam'zelle Belle de Fontenay, habillée en robe des champs, tranquillement baissait le nez comme une patate tant elle avait gelé, cueillant une à une de grosses crombees qu'elle prévoyait de cuisiner devinez comment ?

    ......... en gratin dauphinois.

    Surgit alors d'un buisson un nègre vitelotte, car il avait repéré la belle, espérant bien se la sauter, farcir, rôtir et même cuisiner en purée s'il avait le temps ... Mais, patatas espantadas ! L'autre, aussitôt, lui met une de ces patates ! Il atterrit en plein milieu du champ, recevant en pleine patate sans distinction des rose-vals arrachées ça et là avec ces mots : "Ze vé te réduire en purée !"

    La belle s'interposa et dit à Jacquou le croquant de patates : Lâches-pas la patate surtout ! Attends ! je vais chercher le fusil à patates. Elle n'en eut pas le temps : le rival fut estourbi en plein champ de ... Ouf ! Ils partirent tous deux main dans la main, tirant derrière eux leur sac à patates bien rempli, direction l'estancot dont ils étaient propriétaires : La Pataterie. 

    Sylvie

     

    Ecritures d'Octobre...

     

     ....................................................

     

    **A partir de mots trouvés dans le Dauphiné libéré du jour... sachant que le seul véritable événement du jour c'est l'atelier d'écriture au jardin ! 


    L'événement du jour

     

     

     

                                                        Du rififi à la Cour régionale

     

    En ce matin d'octobre, la Cour régionale se réunissait au grand complet à l'antenne habituelle. A part quelques membres excusés, certains absents et d'autres ailleurs, le match put commencer à l'heure dite après la demi-heure conventionnelle de mise en appétit.

    Dans l'immense salle en plein air, chacun se chargea de lancer des patates à la ronde, en ingénus athlètes de la plume. Le cannabis poussait à qui mieux mieux sous leurs yeux cependant qu'une révolte générale couvait alentour chez ceux qui en avaient assez de subir un sort contraire et de rester dans la purée.

    La séance se termina pourtant, comme il se doit, sans autre forme de procès.

    Ecritures d'Octobre...J.L

     

     ....................................



    Du rififi aux Vans

    Le très célèbre atelier d’écriture s’est déroulé hier matin dans les jardins partagés sis le long de la cave coopérative vinicole.

    Les très honorables membres de cette association, encouragés par le magnifique soleil d’octobre qui rayonne dans notre beau pays, s’étaient ingénument proposés de venir écrire au jardin.

    C’est au cours de cette séance qu’ils ont eu à subir une immense humiliation. En effet, l’antenne de gendarmerie a fait brutalement irruption. Tollé général !!

    Le match entre ces écrivains-jardiniers et les forces de l’ordre n’est pas terminé et la révolte gronde dans le cœur de Vanséens .

    Michèle.

    ....................................

     

    L'antenne dans cinq minutes ! La TV est là ; quel évènement !

    On nous film à l'occasion de l'atelier écriture dans cet immense jardin qui ressemble à la cour régionale, Un vent de révolte souffle :
     
    Pour ou contre planter du cannabis sur la parcelle commune?

    Notre ingénue secrétaire de Revivre se charge d'empêcher un rififi général.
    Elle ne veut en aucun cas subir la réaction de son employeur.
    Déjà, en octobre dernier, elle a dû arbitrer un sévère match :
     
    Pour ou contre planter des patates sur la parcelle commune?

    Claire 

     

    ....................................

     

    Du rififi au jardin

     

    La cour régionale des comptes débarqua en plein mois d'octobre, comme prévu, sur l'immense jardin, terrain prêté par la commune. Elle était conviée à un pique-nique géant au jardin avec écriture.

    Petits plats dans les grands et stylos toutes antennes branchées, car la fanfare était de la partie, comme à l'accoutumée.

    Ecritures d'Octobre...

    La fête battait son plein  quand soudain un général en faction repéra au milieu des ailantes  un plan de cannabis. Un match à palabres s'engagea. Les jardiniers étaient taxés bien évidemment de baba cools branlots.

    Subir ou se révolter : that is the question !  Le débat est engagé : drogues dures ou douces ? Cela sera discuté à la prochaine assemblée générale qui se tiendra  3 route du Vivarais  le mardi 16 octobre à 18 h.

    Sylvie.

     

     ......................................

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires