• Atelier de Mai

    En mai, fait ce qu'il te plait... il parait!!

     

    et bien pour faire courir nos crayons sur le papier ce jour là, la consigne était d'écrire un texte avec le plus de mots commençants par "DE"

     

    Voici...

     

     

    Derechef, Démosthène délirant détalait dans le désert, délaissant derrière lui Denis déhanché, lui même déçu, démuni par ce faux départ.

    De ci, de la, comme un dératé démoniaque il découvre un derrick décoré de détritus, de déchets déodorants.

    Déconne pas Denis ! Dédé, désirant dénudé, un débardeur à la main, court tel un dératé derrière toi, sa demande à la main.

    Décidément, pas désespéré le bougre ! Devant toi, Denis, un destin délicieux se dessine sans dette, ni dehors, ni dedans.

    Quoi, un bon début, une destinée  tel un dessert, non ?

     De Sylvie.

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    Début décembre, le destin de Dédé dériva.

    Devin parmi les devins, il débarqua déguisé en détritus dans nos débats décisifs sur les déchets.

     

    Il déambula devant les députés dédaigneux, se déhancha derrière les décideurs défaitistes, les démons détrônés par leurs dérives destructrices.

     

    Pas de dérobade possible dit-il,

    c'est un délit de démissionner devant tant de déception.

    C'est votre devoir désormais de dératiser ces décombres, de décapsuler ce débarras débordant, de déraciner, de désherber et démêler  ce désert de dégâts.

    Il faut en découdre et décapiter cette destinée d'ordure décrétée par les découvreurs d'immondices. 

     

    Des lors, les députés déridés, les démons devenus délicieux se déridèrent pour dépiauter, démêler sans jamais décevoir les plus dépités.

     

    Ils détruisirent les décors décalqués sur les déchetteries et délirèrent debout, déguisés et débarrassés enfin de leur destruction déconnante.

     

     De Nathalie.

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    Ce moine défroqué, délirant, démoniaque et détesté,

    une fois dégrisé, défendait sa destiné.

     

    Désespéré, il demande un débat quant à son devenir.

    A dessein, la foule déchaînée, dédaigneuse désirait décidément en découdre et s'en débarrasser. Elle était devant, derrière, debout, impossible de détaler, de se désister, de descendre.

    Elle le détroussa, le déculotta, le déposséda, le démantibula et... le décapita !

     

    Dégoûtée de voir cette tête désolidarisée elle déambula.

     

    Le moine, démembré, gisait, dérisoire. Devoir fait, dédaigneuse elle déserta la décharge.

    De Claire. 

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      Le Denis, pas mal dessalé,

    désherbait de ci de là, derrière comme devant son délicieux débit de déjà- vu démodé.

    Décidément, quelle dérive: le désert débarquait dès lors.

    Quel dépit! Après le défi du défrichage. Il avait fallu en découdre, déracinant, au début, et dégageant les détritus décorant les décombres.

    Dédé, dégrisé par défi, l’avait aidé à démêler le décor, à dépolluer, à dédorer, pas dédaigneux, sans dérision, dératisant dehors, dedans, en bon démon débutant qui dénie sa démission pour la députation.

    Les dés, dès lors, étaient jetés.

    De Jean Louis

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    Nous vous invitons a revenir nous lire d'autres textes sont a venir...

     

     

     

     

     

     

     

     

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